Manger, c’est sacré ! Votre culture vous apprend que chaque repas est un moment de plaisir et de connexion, pas une corvée de privation.
Vos goûts sont malléables, pas gravés dans le marbre : comme le chien de Pavlov, vous avez été conditionné·e — ouvrir le frigo, préférer le camembert ou détester les huîtres vient de votre vécu ; et ces associations peuvent évoluer.
Atteignez votre poids de forme sans renoncer à ce que vous aimez : renouez avec vos instincts et reprogrammez doucement vos préférences ; il n’est pas question de sacrifice, mais d’apprentissage et de plaisir !